Dans l’antre d’eux
Pontalis a écrit : « il existe une analogie évidente entre la psychanalyse et la littérature. Nous y voyons à l’œuvre, sans doute par des voies différentes, […] le même postulat : être, pour la première fois, entendu, reconnu, […], et dans le même mouvement, craindre d’être absorbé par la pensée et par le langage ».
J.-B. Pontalis : Perdre de vue, Paris, Gallimard, 1988
Publié le 16 octobre 2021